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Artisanat
Dans cette rubrique nous vous présentons des pièces de notre collection personnelle, qui peuvent parfois être en vente dans notre boutique.
MASQUE KOKRIT HO

Masque Kokrit Ho :
Les Indiens canela (Ramkokamekra), qui habitent dans le sud de l'État du Maranhão, portent ce type de masques pour célébrer un rite transmis par des êtres qui, comme leur nom l'indique, vivent près des eaux : kokrit (ko signifie eau : krit, près de ). Pour désigner ces masques, on accole le terme ho (- feuille, paille -) au nom des entités fédérées.
Le masque Koki ho est confectionné avec les fibres du palmier buriti; la partie supérieure est tressée à la façon de nattes
et l'inférieure est frangée jusqu'aux pieds pour dissimuler le corps du porteur.
Il est aussi doté de deux cornes en bois.
Plusieurs de ces masques sont exhibés lors de cette célébration : Ils sont fabriqués et portés par les membres d'une association dont la règle d'affiliation repose sur l'appellation par certains noms propres.
L'exclusivité masculine de l'association a été brisée par l'admission de deux jeunes filles.
Les masques Kokrit ho peuvent arborer neuf dessins différents, sans compter les dessins non identifiés, chacun définissant son type de Kokrit. Ces dessins intègrent tous un message en langue indigène, à l'exception de l'un d'eux qui exprime en langue portugaise l'espora (semence).
Les Kokrits ne parlent pas, encore que l'on puisse entendre, lors de leur défilé, une sorte de bruit sourd, étouffé, ou quelque chose prononcé d'une voix basse et des nattes: pour demander quelque chose, ils frottent rapidement les bordures des franges, puis les balancent en tremblante. Ils saluent les personnes présentes en frappant le sol de leurs pleds et les appellent en faisant bouger d'avant on arrière les bordures de la fente verticale placée au centre dansant pour remercier. Ils expriment leur déception devant un refus en baissant la tête et manifestent leur colère en pointant une de leurs cornes en direction de l'offenseur.
Le masque Koki ho est confectionné avec les fibres du palmier buriti; la partie supérieure est tressée à la façon de nattes
et l'inférieure est frangée jusqu'aux pieds pour dissimuler le corps du porteur.
Il est aussi doté de deux cornes en bois.
Plusieurs de ces masques sont exhibés lors de cette célébration : Ils sont fabriqués et portés par les membres d'une association dont la règle d'affiliation repose sur l'appellation par certains noms propres.
L'exclusivité masculine de l'association a été brisée par l'admission de deux jeunes filles.
Les masques Kokrit ho peuvent arborer neuf dessins différents, sans compter les dessins non identifiés, chacun définissant son type de Kokrit. Ces dessins intègrent tous un message en langue indigène, à l'exception de l'un d'eux qui exprime en langue portugaise l'espora (semence).
Les Kokrits ne parlent pas, encore que l'on puisse entendre, lors de leur défilé, une sorte de bruit sourd, étouffé, ou quelque chose prononcé d'une voix basse et des nattes: pour demander quelque chose, ils frottent rapidement les bordures des franges, puis les balancent en tremblante. Ils saluent les personnes présentes en frappant le sol de leurs pleds et les appellent en faisant bouger d'avant on arrière les bordures de la fente verticale placée au centre dansant pour remercier. Ils expriment leur déception devant un refus en baissant la tête et manifestent leur colère en pointant une de leurs cornes en direction de l'offenseur.
TAMOK

TAMOK :
Tribus WAYANA APALAY
Vêtement de cérémonie dont le visage est fait d'une vannerie en arouman tressé, puis enduit de cire d'abeilles sauvages
(nez également).
Les dessins traditionnels sont exécutés avec des ocres naturels et du kaolin (blanc).
Les fibres proviennent de l'arbre Maho-cigare : Courataris chez les indiens.
Ce sont en fait, de lourdes bandes d'écorce débarrassées de leur surface rugueuse et dure.
Elles sont ensuite battues pour etre assouplies et débitées en longues lanières.
Celles-ci macèreront dans un lit de ruisseau, contenant de la boue oxydante, d'où cette couleur noirâtre
Masque utilisé lors des cérémonies de purification.
Ils serviront à chasser les mauvais esprits à l'emplacement d'un futur village ou sur la place d'un village lors de
certaines fêtes rituelles:
Pratiques qui disparaissent en guyane.
Vêtement de cérémonie dont le visage est fait d'une vannerie en arouman tressé, puis enduit de cire d'abeilles sauvages
(nez également).
Les dessins traditionnels sont exécutés avec des ocres naturels et du kaolin (blanc).
Les fibres proviennent de l'arbre Maho-cigare : Courataris chez les indiens.
Ce sont en fait, de lourdes bandes d'écorce débarrassées de leur surface rugueuse et dure.
Elles sont ensuite battues pour etre assouplies et débitées en longues lanières.
Celles-ci macèreront dans un lit de ruisseau, contenant de la boue oxydante, d'où cette couleur noirâtre
Masque utilisé lors des cérémonies de purification.
Ils serviront à chasser les mauvais esprits à l'emplacement d'un futur village ou sur la place d'un village lors de
certaines fêtes rituelles:
Pratiques qui disparaissent en guyane.
PEIGNE EMKAI

Peigne EMKAI :
Les dents du peigne ëmkai sont taillées dans du bambou ou du bois de maripa.
Elles sont reliées par un tissage de fil de coton puis introduites dans un radius ou un cubitus évidé de singe atèle.
Les extrémités de l’os sont décorés avec des plumes d’oiseaux.
Depuis les accords de Juin 1986 les plumes de certains oiseaux étant interdites, elles seront remplacées par des plumes de poule, canard et perdix.
Elles sont reliées par un tissage de fil de coton puis introduites dans un radius ou un cubitus évidé de singe atèle.
Les extrémités de l’os sont décorés avec des plumes d’oiseaux.
Depuis les accords de Juin 1986 les plumes de certains oiseaux étant interdites, elles seront remplacées par des plumes de poule, canard et perdix.
Ngàpõkredjê (Mekrägnoti)

Ngàpõkredjê (Mekrägnoti) :
Coiffe en nacre de moules d'eau douce, fils de coton teintés de différentes couleurs. L'une des variantes possibles, la couleur des longs fils de coton qui pendent dans le dos est déterminée par un privilège.
TABOURET MIJELE

TABOURET MIJELE (Wayana) :
C'est le siège des tamusi (les vieux sages).
Comme le kololo, il est réalisé d'une seule pièce, mais plus élaboré dans les détails et la finition.
Il est teinté au noir de fumée fixé avec de l'apulukun et décoré de motifs incisés.
Sa forme concave le rend très confortable.
Les tabourets mijele sont parfois agrémentés d'une tête et d'une queue d'animal (tortue, aigle, caïman)
Comme le kololo, il est réalisé d'une seule pièce, mais plus élaboré dans les détails et la finition.
Il est teinté au noir de fumée fixé avec de l'apulukun et décoré de motifs incisés.
Sa forme concave le rend très confortable.
Les tabourets mijele sont parfois agrémentés d'une tête et d'une queue d'animal (tortue, aigle, caïman)
AKALE MULE (banc-caïman)

Akale Mule (banc-caïman) ( Wayana ):
Les bancs zoomorphes sculptés pour ceux qui sortent du deuil, lors d'une ceremonie mortuaire (epekotono) sont representés généralement par l'akale: le caïman, kaitusi: le jaguar, et anuwana: l'aigle.
Ces animaux, représentent les trois niveaux de l'univers et apparaissent, comme des vecteurs de réintégration dans l'environnement naturel.
Ces animaux, représentent les trois niveaux de l'univers et apparaissent, comme des vecteurs de réintégration dans l'environnement naturel.
PANIER AMÉRINDIEN

PANIER AMÉRINDIEN :
Paniers grameliform, anciennement utilisé pour la pêche.
Confectionnés avec des pailles de buruti.
Ethnie = les kuikuros
Confectionnés avec des pailles de buruti.
Ethnie = les kuikuros
L’EVENTAIL WAYANA ( anapamï )

L’éventail Wayana ( anapamï ) :
L’éventail est réalisé en arouman.
C’est un objet indispensable aux femmes indiennes.
Elles l’utilisent pour activer le feu, transporter la farine de manioc sur la platine pour la cuisson de la galette de cassave , retourner cette galette en cours de cuisson et présenter les morceaux de cassave au moment du repas.
C’est une vannerie plate, rectangulaire, insérée dans un morceau de roseau à flèche, décorée ou non de motifs traditionnels.
C’est un objet indispensable aux femmes indiennes.
Elles l’utilisent pour activer le feu, transporter la farine de manioc sur la platine pour la cuisson de la galette de cassave , retourner cette galette en cours de cuisson et présenter les morceaux de cassave au moment du repas.
C’est une vannerie plate, rectangulaire, insérée dans un morceau de roseau à flèche, décorée ou non de motifs traditionnels.
CIEL DE CASE

LANCE WALATA
Taillée dans le même bois que l’arc. Cette arme servait pendant les attaques contre les tribus rivales. Celle ci servait aussi à achever le gros gibier. Les pendeloques de coton qui ornent la lance devaient absorber le sang des victimes afin de prouver l’hardiesse du guerrier.
BAGUE DE MARIAGE

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